« Quintessence qui Fusionne les Désirs d'Autrui » : différence entre les versions

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La Quintessence qui Fusionne les Désirs d'Autrui (''gZhan 'dod bsdus pa'i gcud phur'')
La Quintessence qui Fusionne les Désirs d'Autrui (''gZhan 'dod bsdus pa'i gcud phur'') གཞན་འདོད་བསྡུས་པའི་གཅུད་ཕུར།


==Signification littérale==
==Signification littérale==

Dernière version du 1 juin 2018 à 13:27

La Quintessence qui Fusionne les Désirs d'Autrui (gZhan 'dod bsdus pa'i gcud phur) གཞན་འདོད་བསྡུས་པའི་གཅུད་ཕུར།

Signification littérale

gzhan: autrui; —‘dod: désir, affirmation; —bsdus pa'i: fusionner, résumer + marque du génitif; — gcud phur: quintessence.

Définition

Seizième texte appartenant au corpus du Traité en Lettres de Cuivre (Zangs yig can) inclus dans le Bima Nyingthik.

Structure

Le texte se compose de quatre parties, plus une conclusion. Il se structure comme suit :

  1. la Vue (lta ba),
  2. la Méditation (sgom pa),
  3. la Conduite (spyod pa),
  4. le Fruit (‘bras bu), et
  5. la conclusion.

Le thème fondamental du texte est celui d'une critique des approches (lit. “désirs” ou “affirmations’) des autres Véhicules qui, en dépit de leurs affirmations (‘dod pa), ne peuvent transcender l'analyse intellectuelle (yid dpyod).


Jean-Luc Achard 9 octobre 2017 à 09:31 (CEST)