Précepte de l’aïeule qui pointe du doigt le Discernement : Différence entre versions

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Le Précepte de l'aïeule qui pointe du doigt le Discernement (''Rig pa rgan mo mdzub tshugs su bstan pa'i man ngag'')
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Le Précepte de l'aïeule qui pointe du doigt le Discernement (''Rig pa rgan mo mdzub tshugs su bstan pa'i man ngag'') རིག་པ་རྒན་མོ་མཛུབ་ཚུགས་སུ་བསྟན་པའི་མན་ངག།
  
 
==Signification littérale==
 
==Signification littérale==

Version du 19 avril 2018 à 18:34

Le Précepte de l'aïeule qui pointe du doigt le Discernement (Rig pa rgan mo mdzub tshugs su bstan pa'i man ngag) རིག་པ་རྒན་མོ་མཛུབ་ཚུགས་སུ་བསྟན་པའི་མན་ངག།

Signification littérale

rig pa: Discernement; —rgan mo: aïeule; —mdzub tshugs su bstan pa'i: pointer du doigt + marque du génitif; —man ngag: précepte.

Définition

Douzième texte appartenant au corpus du Traité en Lettres de Cuivre (Zangs yig can) inclus dans le Bima Nyingthik.

Structure

Le texte ne présente pas de structure numérotée; il est constitué de neuf lignes seulement, adressées aux fortunés engagés dans la pratique visionnaire du Franchissement du Pic. Les thèmes évoqués concernent :

  1. la nécessité de demeurer dans un ermitage,
  2. le fait de pratiquer au cours de la nuit de la même manière qu'au cours de la journée (en appliquant les mêmes points-clefs), autrement dit poursuivre la contemplation du ciel au cours de la nuit, dans une cellule, en se focalisant sur l'obscurité de la pièce,
  3. l'adoption d'une conduite décrite comme celle d'un prédateur vivant dans les solitudes désolées, c'est-à-dire une conduite exempte de toute crainte.

Jean-Luc Achard 25 septembre 2017 à 09:18 (CEST)