Méthodes qui donnent à voir le principe du Non-né à l’aide de trois stances : Différence entre versions
| Ligne 8 : | Ligne 8 : | ||
==Structure== | ==Structure== | ||
| − | Le texte ne présente pas de structure numérotée, mais est organisé autour de la | + | Le texte ne présente pas de structure numérotée, mais est organisé autour de la description des méthodes permettant de contempler le [[Discernement]] (''rig pa'') ; ses thèmes portent ainsi sur : |
#le lieu de la pratique, | #le lieu de la pratique, | ||
#la manière de contempler les [[chaînes adamantines du Discernement]], | #la manière de contempler les [[chaînes adamantines du Discernement]], | ||
Version actuelle datée du 18 août 2018 à 21:12
Les méthodes qui donnent à voir le principe du Non-né à l'aide de trois stances (Tshig gsum gyis skye med kyi don mthong bar byed pa’i thabs) ཚིག་གསུམ་གྱིས་སྐྱེ་མེད་ཀྱི་དོན་མཐོང་བར་བྱེད་པའི་ཐབས།
Signification littérale
—tshig: mot, stance; —gsum: trois; —gyis': marque de l'instrumental; —skye med: non-né; —kyi: marque du génitif; —don: principe; —mthong bar byed pa'i: faire voir + marque du génitif; —thabs: méthodes.
Définition
Onzième texte appartenant au corpus du Traité en Lettres de Cuivre (Zangs yig can) inclus dans le Bima Nyingthik.
Structure
Le texte ne présente pas de structure numérotée, mais est organisé autour de la description des méthodes permettant de contempler le Discernement (rig pa) ; ses thèmes portent ainsi sur :
- le lieu de la pratique,
- la manière de contempler les chaînes adamantines du Discernement,
- le développement des visions,
- la contemplation de la Lampe de l'Espace purissime.
En dépit de son titre, le texte n’est pas véritablement découpé en trois stances (tshig gsum) ou trois parties. Il faut prendre ici cette expression comme signifiant “quelques phrases” ou “quelques mots” plutôt que de tenter de retrouver artificiellement une structure préconçue que le texte n’a pas.
Jean-Luc Achard 6 septembre 2017 à 16:09 (CEST)
